Je commence cette partie par le tout commencement qui n’est autre que la passion du foot. Pour moi le foot a été toujours une partie de moi je commençai mon histoire avec le foot dans les comités de quartier (tournois entre 4 murs) on m’avait surnommé Baby Pelé Baby du nom de mon grand-père (paix a son âme) Pelé car j’étais à l'époque l ’un des meilleurs dribleurs avec le ballon au pied je participa a beaucoup de comités qui fut de moi un des prodiges du foot à Treichville quartier d'Abidjan, très jeunes je voyageais à travers le pays pour participer aux tournois dans des villes et villages.

Je me souviens combien j'étais chanceux d’avoir une mère qui a veiller sur moi toute mon enfance car je souffrais d’abord de fortes douleurs à la poitrine qui m’ont obligé à l’inactivité un bonne partie de mon enfance je me vois encore avec ma mère à travers le pays a conquête de guérisseuse pour guérir mon mal de poitrine et ce fut le cas je fus guéris de mon mal grâce à un mélange de poudre noir salée que je devrais laisser fondre sur ma langue une partie et l’autre qui fut utilisé pour introduire sous ma peau trois au-dessous de mon omoplate droite a l’aide d’une lame qui se glissa sous ma peau laissant trois lignes latérales au-dessous mon omoplate droite, trois autres sous mon sein droit et trois autre sous mon gauche au niveau de ma poitrine.
Après cette longue traverser de désert je commençai à courir les stades de foot de nouveau un beau jour j’appris que l’Asec d’Abidjan club mythique de foot de l’Afrique de l’ouest organisait un weekend de recrutement pour son école de foot ce fut une occasion rêvée pour mon moi de faire mon entrée dans le grand le grand show.

Ce jour-là il y avait plus de 500 jeunes venus tenter leur chance comme moi par chance je commençai je premier match au cour duquel seulement après 2 minutes je fus sortie du match comme retenu par le meilleur gardien de but de l’Asec qui étais l’entraineur chargé du recrutement; il jugea que le contrôle de balle orienter enchainer d’une intelligent étais suffisant pour lui de me donner une chance de faire partir du Club que j’ai tant aimé depuis mes tendres enfance.
Le plus dure commença pour moi, à l’époque il ne fallait pas parler de foot aux parents qui pour eux il n y avais que l’école des blancs comme solution à la réussite d’un jeune homme noir issue d’une famille noble et respecter qu’étais la nôtre, mon père qu’il repose en paix avait quitté le manding à pied jusqu’en côte d’ivoire afin de trouver une terre d’accueil. Il s’installa à Treichville un quartier plein de broussaille et de marais, il acheta un lot de terrain et construisit lui-même avec l’aide de certains des compatriotes.

Mes parents étaient des fervents musulmans, je fus éduquée selon la tradition manding et les lois fondamentales de l’Islam j’étais réticent et non perceptible à ces instructions que je recevais de mon père, j’ai été élevé à la dure aujourd’hui j’en suis devenus quelqu’un de bien grâce à cette éducation et au concept qui font de l’Islam un soutient et une direction de ma vie.
Mon père est décède à mon absence; j’étais en France à l’époque, je venais juste de quitté l’Afrique pour tenter ma chance comme joueur professionnel. Le jour du décès de mon père j’ai su d’avance que je venais de perdre l’Homme que j’ai tant aimé sans pouvoir le lui dire, quand je reçu un appel de l’Afrique ce jour-là je me suis mis à pleurer sans savoir pourquoi, on m’annonça que mon père nous avais quitté. Ce fut dure pour moi car je n’ai jamais eu le temps de partager mon rêve de devenir un jour quelqu’un de bien comme il avait toujours voulu pour moi. Puisse Dieu le Tout-Puissant lui accord un long repos dans son paradis. Amen.

Il fallait se rendre tous les matins au entrainement de l’école de foot sis a la une école de gendarmerie et j’avais aucun soutien mes parents étais contre pour des raisons de l’époque je me débrouillais comme je pouvais souvent je me rendais aux entrainements sans moyens de transport il fallait prendre l’autobus sans ticket et il m’ait arrivée un jour de sauter par la fenêtre de l’autobus à l’arrêt lorsque les contrôleurs entrèrent pour des contrôles réguliers, s’était risqué mais bon il fallait que me rendre à Cocody au  stade de la gendarmerie a tous les prix.

Pour l’entraineur de l’Asec Gohi Marc  j’étais pour lui le meilleur espoir du foot en Côte d’Ivoire car je pouvais porter le ballon d’un bout de terrain jusqu’au but adverse en utilisant des dribles effaçant les joueurs adverse les uns après les autres et aussi j’étais fort physiquement.
Comble de malheur pour moi je suis tombé au mauvais moment de la mauvaise époque du club jaune et noir. C'est une partie de mon histoire.